"Rencontre sur la pédagogie d'intégration
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La première étape du groupe de jeunes de la Fondation du Bocage en voyage au Maroc depuis le 1/02 sera l'école Don Bosco à Kénitra ; ce qu'ils souhaitent , par cette visite, c'est la rencontre d'une école originale, parceque très largement acquise aux valeurs pédagogiques de Don Bosco. Nous avons en mémoire notre visite à l'école en avril dernier, où nous fûmes accueillis par le père Cristobal, directeur de l'établissement , et surtout accompagnés pour une visite par trois dynamiques jeunes élèves très heureuses de nous apprendre qui était Don Bosco. Il se dégage de cette école un bonheur d'apprendre et une joie de vivre qui forcent l'admiration.
"L'école Don Bosco, fondée par les salésiens (les disciples de Don Bosco) en 1938, est située au centre de la ville Kénitra. Elle est sous la tutelle de l'E.C.A.M (Enseignement catholique au Maroc) qui réunit les écoles privées qui dépendent de l'église catholique et relève de l'archevêque de Rabat la capitale du Maroc. A Don Bosco on ne parle pas d'école ou d'œuvres, mais plutôt de maison. C'est l'esprit de famille qui règne et produit de l'affection qui engendre la confiance, chose essentielle entre l'enseignant et l'élève. "L'acte éducatif est un acte d'amour". Elle propose une démarche pédagogique d'apprentissage actif qui accorde une large place à l'initiative de l'enfant et au travail de groupe ce qui ramène l'élève à construire lui même ses connaissances, du questionnement initial à la synthèse personnalisée. c'est ainsi qu'il faut comprendre la phrase de Don Bosco: "Sans vous, je ne peux rien faire". Elle constitue une communauté éducative qui se veut être une école à plein temps et à la disposition de tous les membres de cette communauté éducative. C'est pourquoi de jour en jour il y a plus d'activités soit pour les enseignants, soit pour les parents, soit pour les enfants qui y apprennent l'art de vivre avec les autres des relations heureuses."
L’abandon scolaire entrave les efforts d’alphabétisation
Pour faire le point sur la situation de l’analphabétisme au Maroc, un séminaire a été organisé lundi 13 octobre à Rabat. Le rythme actuel de l’alphabétisation reste insuffisant. ... ...L’objectif du gouvernement (est) de réduire le taux global d’analphabétisme à moins de 20% à l’horizon 2010 et d’éradiquer totalement ce fléau à l’horizon 2015. L’abandon scolaire continue d’alimenter le flux des analphabètes. «Pour éradiquer l’analphabétisme au Maroc, il faut une meilleure implication des départements gouvernementaux en relation avec des populations à fort taux d’analphabétisme notamment le ministère de l’Agriculture sachant que 60% des personnes qui travaillent dans le secteur agricole sont analphabètes. (www.aujourdhui.ma, 16 octobre 2008) Développement touristique au Marocun article paru le 29/9 sur le site d'ErrachidiaLa ville vient de mettre la dernière touche à l'avenue Hassan II et les guirlandes lumineuses en font une véritable avenue des Champs Elysées marocaine ; mais elle a bien d'autres atouts cachés : de la ville moderne à la médina, les occasions de rencontre ne manquent pas, et les fassis sont les gens les plus accueillants du monde ; interpellés un soir par trois jeunes étudiants désireux d'échanger quelques mots, nous avons refait le monde en quelques minutes ; vus de nos yeux d'européens, les jeunes du maroc sont surprenants : il portent en eux l'avenir d'un pays en pleine construction, et ils semblent ne pas encore y croire. Mais comment comprendre que le vrai mirage d'aujourd'hui n'est peut être plus du côté d'une France qui s'éssouffle, mais peut-être plus surement du côté du Maroc, un pays jeune à qui l'avenir semble ouvert pour peu que sa jeunesse s'y engage. Un plan de réforme du système éducatif marocain, comportant la construction de milliers d’écoles, a été soumis mercredi au roi Mohammed VI, a-t-on appris jeudi de source officielle. Le quotidien Le Soir, qui titre jeudi "un plan Marshall de l’enseignement", affirme que le rapport présenté au roi recommande d’accorder au ministère de l’Education nationale 19 milliards de dirhams supplémentaires à partir de 2009 et sur trois ans. Le ministère devrait recruter près de 42.000 enseignants d’ici 2011 et construire plus de 8.000 nouvelles écoles. Le budget de l’Education pour 2008 se monte à 31 milliards de dirhams soit 26% du budget de l’Etat. Le conseiller du roi Meziane Belefkih, qui dirige la commission ayant préparé ce plan de "réforme urgente", a cependant affirmé mercredi qu’en dépit de la généralisation progressive de l’enseignement (atteignant 94% au primaire), l’impact qualitatif n’a pas été constaté. Il a expliqué cette stagnation par des taux élevés de déperdition scolaire, le redoublement et la mauvaise qualité de certains enseignements dispensés, comme les langues et les matières scientifiques. Le ministre de l’Education nationale, Ahmed Khchichine, a indiqué que son département allait se mobiliser pour la mise en oeuvre du plan de réforme présenté au souverain. L’accent a été mis notamment sur la réhabilitation du métier d’enseignant, la maîtrise des langues, la bonne gouvernance, l’amélioration de la qualité des enseignements dispensées, la diversification des formations et leur adaptation à la qualification professionnelle et sociale, a ajouté le ministre. Comparé à ses voisins maghrébins, le Maroc fait figure de mauvais élève et l’UNESCO avait déjà appelé Rabat à opérer un changement radical de sa politique pour garantir l’éducation pour tous en 2015 lors d’une récente rencontre à Tunis. "Sur le plan du développement humain, nous sommes classés par le PNUD 126e sur 177 pays, et c’est la scolarité qui nous pénalise", avait admis en février le conseiller du roi. "Les dépenses pour un élève marocain sont de 525 dollars par an, contre 700 en Algérie et plus de 1.300 pour un élève tunisien", avait-t-il confié. Source : AFP |
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